Quand l’information rencontre l’intoxication : INFOX
De quelle infox parle-t-on ?
A la suite du Grand Débat, qui a eu lieu le samedi 2 mars à Mazan, des tracts me concernant sont relayés sur les réseaux sociaux indiquant que l’accès à cet évènement, organisé par mes soins, aurait été interdit aux membres du mouvement dit des « Gilets Jaunes ».
Je tiens à préciser qu’à l’occasion de ce Grand Débat la seule sécurité mise en place fut celle d’une brigade de la Gendarmerie par le Préfet de Vaucluse, comme lors de la réunion de Saint-Didier, et que l’accès était ouvert à tous.
Il est avéré que des vidéos comme des photos, émanant de « Gilets Jaunes » notamment, prouvent que l’accès ne leur a pas été refusé et que ceux-ci ont pu participer au débat, le filmer tout en me posant des questions auxquelles j’ai répondu.
Voilà comment une rumeur, issue d’une affabulation isolée, peut enfler et donner lieu à l’appel d’un rassemblement « Gilets Jaunes » devant ma permanence à Carpentras pour ce lundi 11 Mars.
Cette manœuvre ne trompe personne : elle n’a pour but que de ralentir mon travail législatif tout en freinant mon action de Député en circonscription. Cette manœuvre engage surtout la sécurité des personnes désirant me rencontrer comme celle de mon équipe parlementaire.
Depuis le début du mouvement j’ai toujours été à l’écoute des requêtes des « Gilets Jaunes ».
Je comprends certains aspects de leur colère et c’est pour cela que je ne pouvais que saluer l’organisation du Grand Débat National dans lequel je me suis pleinement engagé dès sa mise en place.
Hélas, ce Grand Débat qui nous donne la chance de renouer avec un temps de dialogue apaisé et respectueux est utilisé par certains pour leur propre tribune aussi mensongère que vindicative. Je ne céderai pas aux intimidations.