Communiqué de Presse : "Une très bonne nouvelle pour la cerise française et surtout vauclusienne !"
Le projet «Plan de restructuration de la filière Cerise» vient d’être retenu comme lauréat de l’Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI) « structuration des filières agricoles et agroalimentaires » par le Comité de Pilotage dédié et notamment composé de FranceAgriMer.
Cette réussite est le fruit de la collaboration entre Jean-Christophe NEYRON, Président de l'AOP Cerises de France, René REYNARD, en charge du dossier Plan de Restructuration pour l’AOP et moi-même.
De concert, nous avons porté ce dossier auprès des services du Préfet de Vaucluse et du cabinet de Didier Guillaume Ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation afin de l'agrémenter en recueillant leurs conseils.
C’est une très belle victoire pour la cerise de France et c’est encore une plus belle victoire pour notre délicieuse cerise vauclusienne.
✊ Défendons encore et toujours collectivement notre patrimoine local, ses fleurons, tout en valorisant les typicités de notre terroir !
L'appel à manifestations d'intérêt vise les objectifs suivants ⤵️
➡️ mieux répondre aux attentes des consommateurs en faisant évoluer l’offre de produits, les pratiques de production et les processus de transformation et en améliorant la traçabilité;
➡️ limiter le gaspillage alimentaire, en agissant aussi bien sur les conditions de conservation des produits, sur les conditions de leur valorisation que sur les modes de commercialisation;
➡️ sécuriser les débouchés pour les producteurs ainsi que les approvisionnements pour les transformateurs et distributeurs en encourageant les actions de regroupement de l’offre et de contractualisation pour mieux se positionner, y compris à l’international;
➡️ gagner en compétitivité, par des actions de modernisation, de formation, de recherche et développement, d’innovation, de conquête à l’international, notamment par le développement des usages du numérique;
➡️ faire évoluer les modèles agricoles, notamment par l'agro-écologie, pour atteindre une meilleure performance économique, sociale, environnementale et sanitaire, à l’échelle des exploitations et des entreprises, des filières et des territoires, et de favoriser de la même façon une gestion durable de la pêche;
➡️ améliorer la prévention et la gestion des risques climatiques, sanitaires ou économiques;
➡️ s’adapter aux contraintes liées au changement climatique et d’agir pour contribuer à la concrétisation des engagements de la France sur la scène internationale en faveur du climat et de la qualité de l'air;
➡️ assurer le renouvellement des générations et l’installation de jeunes agriculteurs;
➡️ contribuer à la création de valeur et à une répartition équitable de la valeur ajoutée et des gains de productivité entre les différents maillons de la filière, en faveur notamment de l’amont agricole.