Bilan des 6 premiers mois : ASSURER LA SECURITE DES FRANÇAIS.
Troisième volet de notre bilan des 6 premiers mois d'action politique pour notre pays : assurer la sécurité des français.
Loi renforçant la Sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme promulguée le 30 octobre. Elle a permis une sortie maîtrisée de l’état d’urgence au 1er novembre, en renforçant notre arsenal juridique pour lutter efficacement contre le terrorisme dans le cadre du droit commun.
Coordination nationale du renseignement et de la lutte contre le terrorisme (CNRLT) directement sous l’autorité du Président de la République depuis juin dernier, pour renforcer la coordination des services, mieux partager l’information pour éviter tout angle mort, et viser l’excellence opérationnelle.
Renforcer notre effort de Défense, avec une augmentation inédite du budget des Armées sur tout le quinquennat. +1,8 Mds € en 2018 puis +1,7 Mds €/an jusqu’en 2022.
Réorganisation des modalités de déploiement du dispositif Sentinelle (présentée le 14 septembre). Dispositif plus efficace avec une force plus mobile, flexible et imprévisible en complément de l’action des forces de sécurité intérieures. 3 niveaux de déploiement : participation à la sécurisation des points d’importance vitale de l’Etat, contribution à la protection des sites jugés sensibles et appui éventuel au contrôle aux frontières.
Création de la Police de sécurité du quotidien pour mieux répondre aux besoins et attentes des citoyens. Elle sera adaptée selon les territoires grâce à de nouvelles organisations locales et de nouveaux modes d’intervention. Concertation lancée le 28 octobre jusqu’au 20 décembre, et mise en place des premières expérimentations en janvier 2018.
Combattre les violences sexistes et sexuelles et faire avancerl’égalité entre les femmes et les hommes. Plusieurs consultations lancées, dont un Tour de France de l’égalité Femmes/Hommes. Projet de loi contre les violences sexistes et sexuelles proposé au premier semestre 2018, autour de 3 axes : allongement des délais de prescription pour les crimes sexuels sur mineurs ; instauration d’un âge minimum en-dessous duquel un enfant ou un adolescent serait présumé non-consentant en matière de relation sexuelle ; sanction des actes de harcèlement de rue.