Nous avons un système de retraite qui coûte de l’argent à l’Etat, donc à nous tous, qui n’est pas égalitaire et qui, hélas, a été revu à la marge depuis trop longtemps.
Je comprends que cette réforme, comme tout changement, génère des inquiétudes.
Le dialogue reste ouvert et le discours d’Edouard Philippe demain posera les bases d’une nouvelle dynamique qui permettra de sauver l’un des principaux outils de notre solidarité nationale.
Fruit du Conseil National de la Resistance, notre précieux système de retraite doit être sauvegardé et donc mis à jour. Ce système, qui fut une révolution sociale majeure, est notre bien commun, il est une incarnation de la générosité qui nous lie au cœur de notre Nation.